« Effet parc, inertie, énergie grise » : différence entre les versions

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« Inertie des infrastructures » Guivarch, 2011 ; oliviercarles.free.fr
« Inertie des infrastructures » Guivarch, 2011 ; oliviercarles.free.fr


Arrêt de la 2G et 3G : la mise à mort de millions d’objets, https://reporterre.net/Arret-de-la-2G-et-3G-la-mise-a-mort-de-millions-d-objets
Arrêt de la 2G et 3G : la mise à mort de millions d’objets<ref>https://reporterre.net/Arret-de-la-2G-et-3G-la-mise-a-mort-de-millions-d-objets</ref>


 
« Quelle transition énergétique justifie plus d’extraction et de destruction au Sud ? Derrière cette course aux métaux, ce sont des guerres qui continueront, au Congo et ailleurs. »<ref>Reporterre, https://reporterre.net/Terres-detruites-sang-verse-cet-exile-denonce-les-ravages-de-l-extractivisme-au-Congo</ref>
=FLTCN : Effet de parc, inertie=
 
Lorsqu'on veut remplacer une technologie par sa version moins polluante, on se heurte au fait que le parc existant est déjà bien implanté. Le remplacer demande une grande quantité d'énergie et de matériaux mais aussi beaucoup de temps. Et cela concerne aussi toute la chaîne de production, de distribution et de fin de vie. Que fait-on de tout ce qui est devenu obsolète ?

Version actuelle datée du 3 janvier 2025 à 15:21

Attention à : Transition énergétique[modifier]

Pile of scrap cars (2143225359).jpg

La transition énergétique, sensée utiliser des énergies plus propres, nécessite de remplacer le matériel existant au lieu de le modifier, souvent au prix d'une complexification technologique entravant la maintenance locale.

Cela demande beaucoup de temps, d’énergie et de matériaux, et nécessite un remaniement industriel favorable à la concentration des acteurs au niveau mondial.

Références[modifier]

« Inertie des infrastructures » Guivarch, 2011 ; oliviercarles.free.fr

Arrêt de la 2G et 3G : la mise à mort de millions d’objets[1]

« Quelle transition énergétique justifie plus d’extraction et de destruction au Sud ? Derrière cette course aux métaux, ce sont des guerres qui continueront, au Congo et ailleurs. »[2]